Présentation générale de l' »Observatoire Education et Territoires » – OET (ex-OER) / Références bibliographiques récentes publiées par les membres de l’OET – auteurs(trices) classé(e)s par ordre alphabétique

Composition du nouveau bureau (2024)

  • réélection de sa nouvelle présidente le 11/04/2024 : Sylviane Blanc-Maximin

(voir la rubrique « Equipe de recherche »)

Présentation générale – fondation, historique, objectifs, partenariats scientifiques, publications principales, vulgarisation, grandes lignes bibliographiques, etc. – de l’Observatoire éducation et territoires (OET) ex-Observatoire de l’école rurale (OER)

Le groupe de recherche pluridisciplinaire initial (sciences de l’éducation, sociologie de l’éducation et géographie de l’éducation essentiellement), qui a fondé l’Observatoire de l’école rurale (OER) dont le démarrage opérationnel – id est la collecte des données du premier suivi longitudinal CM2-2nde – s’est effectué à partir de 1999, a été historiquement créé sur le site IUFM de Digne-les-bains en 1997 par quelques chercheurs et / ou formateurs (Yves Alpe, Pierre Champollion, Renée-Claude Fromajoux et Jean-Louis Poirey, notamment) – trois d’entre eux exerçant alors les fonctions de directeur-adjoint  d’IUFM (Yves Alpe, Pierre Champollion et Jean-Louis Poirey) –  de quatre IUFM du grand « sud-est » de la France (Aix-Marseille, Franche-Comté, Grenoble et Lyon), auxquels s’est rapidement joint l’IUFM de Clermont-Ferrand (via René Dupuy, directeur du centre IUFM du Puy), pour étudier les éventuelles spécificités et, plus généralement, toutes les caractéristiques – y compris évidemment contextuelles – de la scolarisation en milieux ruraux et montagnards (organisation des écoles et des classes, organisation des collèges, outils didactiques, stratégies d’enseignement et d’apprentissage, représentations sociales, comportements et performances des élèves, orientation et insertion des élèves, formation professionnelle des enseignants, participation à l’école et au collège des parents, des élus, des associations, des organismes et des entreprises, partenariats divers, insertion de l’école dans son territoire, etc.) dont le manque se faisait cruellement sentir dans les IUFM chargés depuis 1995 de la formation professionnelle des enseignants. Ce groupe de recherche, qui s’est vite élargi à d’autres enseignants-chercheurs et enseignants-formateurs (voir équipe de recherche) dans chacun des IUFM participant, ce qui s’est fait très rapidement sur Aix-Marseille (Jean-Luc Fauguet, Alain Legardez, Nicole Lebatteux, etc.), ainsi qu’à d’autres disciplines (sciences de l’information et de la communication avec Cyril Masselot et Anne Piponnier, psychologie avec Michel Floro et Jean-Pierre Levain, entre autres) a bénéficié à ses débuts d’un soutien scientifique et méthodologique régulier de la part du Centre MTI@SHS (Méthodologie et technologies de l’information appliquées aux sciences de l’homme et de la société) de l’Université de Franche-Comté dirigé par Jean-Jacques Girardot (économiste) et, plus occasionnellement, du CERMOSEM ardéchois (Centre d’études et de recherches sur les montagnes sèches et méditerranéennes – Université Joseph Fourier de Grenoble) sous la responsabilité d’Hervé Gumuchian (géographe à l’Institut de géographie alpine de Grenoble) et du laboratoire bisontin ThéMA (Théoriser et Modéliser pour Aménager) dirigé par Serge Ormaux (géographe). Il a en outre collaboré régulièrement avec les partenaires universitaires, scolaires et associatifs européens rassemblés dans le cadre du REIT (Réseau européen d’intelligence territoriale) avant 2006, puis de la CAENTI (Coordination Action of European Network of Territorial Intelligence) de 2006 à 2009, ainsi que 2000 à 2003 avec les établissements scolaires secondaires et universitaires formateurs d’enseignants autrichiens, danois, espagnols, irlandais, italiens et portugais partenaires du projet européen Comenius Extra Muros 3.1 et du cours de formation continue éponyme 3.2, qui a été enseigné en Campanie italienne, pilotés par l’IUFM de l’académie de Grenoble sous la responsabilité de Pierre Champollion de 1996 à 1999. Il a enfin bénéficié du soutien actif, plusieurs fois renouvelé, des collectivités territoriales (conseils généraux, aujourd’hui départementaux, des Alpes de haute Provence, de l’Ardèche et de la Drôme, notamment, ainsi que du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur) sur les territoires desquelles se sont déroulées une partie des recherches qu’il conduisait.

Les questionnements initiaux de l’OER, qui étaient principalement centrés sur l’étude des contextes territoriaux,  mais aussi institutionnels, socioculturels, familiaux, etc. dans lesquels les écoles et les établissements scolaires enquêtés s’inscrivaient, visaient prioritairement à mieux connaître la scolarité, l’apprentissage et l’orientation des élèves des écoles et des collèges ruraux et montagnards, ainsi que l’enseignement qui leur étaient dispensé. Appuyés, notamment, sur deux suivis longitudinaux du CM2 à la 2nde de panels d’élèves ruraux et montagnards issus  des mêmes écoles du sud-est de la France interrogés, ainsi que leurs parents et leurs enseignants, à plusieurs reprises au cours de leur scolarité [le premier suivi, qui a été réalisé par l’OER sur six départements de 1999-2000 à 2004-2005 (Ain, Alpes de haute Provence, Ardèche, Drôme, Haute-Loire et Haute-Saône – le Cantal et la Savoie, sollicités, ont décliné faute de participants), a été entièrement saisi et analysé, tandis que le second, réalisé de 2011-2012 à 2015-2016 jusqu’en 3ème uniquement, qui concerne seulement trois des mêmes six départements (Alpe de haute Provence, Ardèche et Drôme), a été effectué dans le cadre de l’OET – voir un peu plus bas – et a vu en 2018-2019 ses premières analyses développées par Pierre Champollion – ses résultats sont actuellement en cours de publication], les chercheurs de l’OER-OET ont pu effectuer des traitements, des analyses, des interprétations, des comparaisons et des mises en perspectives organisées selon trois axes majeurs :

  • Les disparités socio-spatiales de la réussite et de l’échec scolaires, des aspirations, des attentes, des souhaits, des projets et des choix d’orientation, ainsi que des trajectoires scolaires entamées à partir de ces choix préparés au collège et effectués en fin de 3ème et de 2nde.
  • Les spécificités des différents milieux ruraux et montagnards en termes d’éducation, d’orientation et, plus généralement, de trajectoire, de scolarisation, d’organisation et de densité scolaire, de transports scolaires, d’offres de formation, d’offres culturelle, d’enclavement géographique, d’isolement socio-culturel et de représentations sociales des territoires et des écoles.
  • Les impacts des diverses dimensions contextuelles des territoires, spatiales, vécues, institutionnelles, sociales, politiques, économiques, y compris les dimensions rêvées ou symboliques (aussi bien revendiquées qu’intériorisés) correspondant aux différents types de territorialité, sur les questions pédagogiques et didactiques (d’apprentissage et d’enseignement), sur les questions d’orientation, d’affectation et d’insertion, bref sur toutes les questions éducatives, comme sur les formes, organisations  et dispositifs scolaires développés, sur les questions administratives et sur les politiques éducatives (offre d’éducation et de formation, inégalités scolaires et plus largement éducatives, éloignement-proximité de l’école, richesse, densité et proximité-éloignement de l’offre de formation professionnelle, périmètre et carte scolaires, équipements scolaires, transports scolaires, cantines et internats, etc.).

Ces trois grands axes de recherche, qui portent en germe un regard plus vaste abordant tous les types de territoires, urbains également donc, ont abouti dès 2009 à la mise en route d’un questionnement plus large relatif à la problématique « éducation, territoires et territorialités » en général, au-delà donc de la seule école rurale et montagnarde. En 2009, l’OER s’est donc officiellement transformé en Observatoire éducation et territoires (OET) pour bien marquer l’élargissement de ses perspectives de recherche à de nouveaux terrains d’investigation [territorialités et territoires urbains, y compris « urbains sensibles » qui regroupent la majorité – mais non l’exclusivité – des Réseaux d’éducation prioritaire (REP et REP+)], en Ardèche et en Drôme par exemple (voir, d’une part, les travaux comparatifs urbain – rural collectifs de Cécile dos Santos, Pierre Couderc, Thierry May-Carle et Pierre Champollion en 2014 – 2015, ainsi que les travaux individuels comparatifs – toujours rural-urbain – de Pierre Champollion de 2015 à 2018, travaux en cours, se reporter à la rubrique « Publications », revue Sisyphus notamment), ainsi que sur Marseille par l’intermédiaire de son partenaire OQSM – voir la rubrique « Observatoires partenaires » – qui cherche à appréhender les caractéristiques des quartiers sud de la cité phocéenne au travers d’une démarche coopérative relevant de l' »intelligence territoriale ») et à de nouvelles problématiques de recherche liées au territoire. Celles, notamment, de l' »intelligence territoriale » (IT), avec les articles d’Alain Legardez et Pierre Champollion en 2008, puis de Michel Floro et Pierre Champollion en 2016, qui cherchent à cerner la mise en œuvre de la démarche d’IT dans l’EN (voir rubrique la « Publications »), et enfin de Catherine Rothenburger et Pierre Champollion en 2018 (voir également la « rubrique « Publications »), qui essaient de définir les notions non encore pleinement stabilisées de « village éducateur » et de « territoire apprenant », de l' »éducation au développement durable » – EDD – au travers, notamment, de la participation des chercheurs de l’OET à l’ANR « Education au développement durable : atouts et obstacles » coordonnée par Jean-Marc Lange à la fin des années 2000 – voir entre beaucoup d’autres l’article d’Angela Barthes et de Pierre Champollion publié en 2012 (voir rubrique « Publications » encore) – et de l’éducation au patrimoine depuis sous l’impulsion notamment d’Angela Barthes, de Sylviane Blanc-Maximin et de Serge Da Silva, de la territorialisation potentielle de l’identité professionnelle des enseignants exerçant en milieux ruraux et montagnards via – voir toujours la rubrique « Publications » – la thèse de Catherine Rothenburger sur la question soutenue en 2014, en particulier, ainsi que ses publications. L’OET s’est aussi de plus en plus investi dans les questions plus spécifiquement pédagogiques, notamment dans les gestes professionnels spécifiques des enseignants ruraux et montagnards (voir la thèse de Daniel Lallaï soutenue en 2016) et dans l’analyse des pratiques d’enseignement-apprentissage développés dans les territoires ruraux et montagnards (voir, dans les enquêtes de nos partenaires, les résultats de la recherche internationale pilotée par l’université de Barcelone I+D+I – Champollion & Floro, 2013), ainsi que dans la différenciation par genre des différents impacts territoriaux repérés, « effets de territoire » compris (voir, notamment, les récentes thèses de Thierry May-Carle et de Boris Meunier sur la question dans la rubrique « Publications », ainsi que le dossier en ligne éponyme complémentaire de l’ouvrage « Ecole rurale et réussite scolaire » coordonné en 2016 par Yves Alpe, Angela Barthes et Pierre Champollion sur le site de Canopé).

L’OET, au fil de ses recherches, a pu nouer de nombreux partenariats scientifiques réguliers avec différents laboratoires et équipes effectuant des recherches sur des champs comparables et/ou complémentaires français [ADEF, où travaillent de nombreux membres de l’équipe, Yves Alpe, Angela Barthes, Anne Chiardola, Serge Da Silva, Jean-Luc Fauguet, Michel Floro, Thomas Floro, Alain Garcia, Daniel Lallaï, Alain Legardez, Sylviane Maximin, Thierry May-Carle, Noémie Olympio, Nathalie Richit, etc.; ECP, où travaillent Elodie Bellarbre, Alicia Buissonnet, Pierre Champollion, Sylvie Jouan et Catherine Rothenburger, etc.; ESO, où travaillent Gérard Boudesseul, Patrice Caro, Agnès Checcaglini, Rémi Rouault, etc.; LISA, où travaillent Bruno Garnier et Christelle Mazière, etc.; LaRAC – ex-LSE, IRD, CEREQ, notamment. Voir leurs adresses mails respectives dans l’onglet « Bibliographie », sous-onglet « Sitographie »] et étrangers [départements recherche des universités de Barcelona, où travaille Roser Boix, de Saragoza, où travaille Pilar Abos, de Vic, où travaille Laura Domingo, de Girona, de Granada, de Lisboa, où travaille Antonio Duarte, de Lleida, de Torino, Groupe interuniversitaire de l’école rurale (GIER) catalan, Fondation Gargallo de Saragoza, Fondation du monde rural catalane, etc.] avec qui il a développé de nombreux projets de recherche (voir onglet « Vie de l’OET », sous-onglet « Projets », et onglet « Recherches », sous-onglet « Recherches partenariales »).

En son sein – et en s’appuyant entre autres sur ses travaux scientifiques originaux historiques et actuels théoriques, liés à des études de cas, à des analyses comparatives, locaux, régionaux comme nationaux et internationaux et / ou à des développements théoriques – ont déjà été acquises de nombreuses qualifications universitaires (de nombreux masters1 et masters2, huit thèses de doctorat – PhD – et, last but not least, pas moins de cinq habilitations à diriger des recherches – HDR – voir la rubrique « Publications », sous-rubrique « Diplômes acquis dans le cadre de l’OER-OET »). D’autres recherches débouchant sur des thèses de doctorat d’université et de mémoires de masters 2 recherche – notamment – sont actuellement en cours d’élaboration, de rédaction, de soutenance et / ou d’acquisition (voir également la sous-rubrique « Diplômes »).

Les différents membres de l’Observatoire, sur une vingtaine d’années, ont communiqué dans de très nombreux colloques et congrès scientifiques internationaux, tant français qu’étrangers, de sciences de l’éducation bien sûr, mais aussi de sociologie, de géographie, de psychologie, de sciences de l’information et de la communication, etc., et évidemment pluridisciplinaires. Ils ont également publié de très nombreux articles scientifiques dans des revues internationales françaises et étrangères (voir la rubrique « Publications »), ainsi que produit et / ou dirigé nombre d’ouvrages scientifiques (voir aussi l' »ascenseur » à droite, en plus de cette rubrique) comme de vulgarisation à destination soit de publics ciblés type enseignants, élus, acteurs éducatifs (idem) soit plus largement du grand public (idem), rédigé de très nombreux chapitres d’ouvrages sur la question et commis de nombreuses expertises sur cette thématique. Ils sont également tout récemment intervenus  à l’université d’été organisé sur la thématique « territoire et justice à l’école » par le CNESCO fin août 2017. Ils ont dans la foulée de cette intervention contribué fortement au rapport scientifique dudit CNESCO sur les inégalités territoriales d’éducation et d’orientation qui est paru à l’automne 2018 (Patrice Caro et Pierre Champollion). Des compléments à ces premières contributions, notamment dans le cadre d’un futur avenant au contrat initial, sont à l’étude entre le CNESCO et ESO-Caen avant la fermeture du CNESCO. L’un d’entre eux devrait analyser de façon comparative, à douze ans d’écart, les données des enquêtes 3ème du 1er suivi longitudinal OER – 2004 – et du 2nd suivi suivi longitudinal OET – 2016 – ces dernières tout récemment saisies, ce qui a été fait en dehors du CNESCO par Pierre Champollion (article de la revue intenationale portugaise Sisyphus, publication de chapitre chez Peter Lang, Bern)… Pierre Champollion et Thierry May-Carle ont participé » à l’évaluation, au sein d’une équipe de chercheurs du laboratoire lyonnais d’ECP (convention entre l’université de Lyon2 et le rectorat de l’académie de Grenoble), du dispositif institutionnel original de co-enseignement mis en place dans les classes uniques rurales et montagnardes de l’Ardèche qui a débouché sur un rapport de recherche remis au commanditaire et qui a fait début 2022 l’objet d’un ouvrage – coordonné par Thierry Bouchetal et Quentin Magogeat d’ECP – chez ISTE intitulé Une classe unique, deux enseignants, le co-enseignement comme innovation pédagogique dans la série Education auquel l’OET, via ses deux chercheurs  susmentionnés, a pris part. Les chercheurs de l’OER-OET ont aussi, par le passé, co-organisé deux colloques scientifiques internationaux à Digne en 2007 et 2010 sur toutes les questions liées à la thématique « éducations, territorialités et territoires ». Ils ont pris part à des réseaux thématiques de recherche (RéUniFEDD – voir sitographie – réseau dédié à l’éducation au développement durable, qui est actuellement présidé par un membre « historique » de l’OET, Alain Legardez). Ils ont participé à l’organisation des Journées annuelles successives de rencontre acteurs-chercheurs  de Digne sur la thématique « EDD et territoire » (JEDD).

Les chercheurs de l’OET ont également bien sûr pendant toutes ces années alimenté autant que faire s’est pu – c’est-à-dire beaucoup trop peu! – par leurs résultats scientifiques les cursus de formation professionnelle des institutions universitaires de formation des enseignants (IUFM, puis ESPE, puis INSPE).

Ils ont enfin assuré, par la tenue de très nombreuses conférences, l’animation de très nombreux débats, discussions et tables-rondes, et par la réalisation de nombreuses interviews (Fenêtres sur cours, la Gazette des communes, le journal du MRJC, la Lettre de l’éducation, le Monde, le Figaro, le Pèlerin, Libération, etc. etc.) notamment, ainsi que par la rédaction de très nombreux articles de vulgarisation, plus quelques rapports de recherche, par la publication de tribunes dans de « grands » médias (lemonde.fr, le Monde de l’éducation, pour Pierre  Champollion, Patrice Caro et Angela Barthes, par exemple, etc.), la diffusion et la dissémination des principaux résultats scientifiques obtenus dans le cadre de leurs recherches auprès des instances hiérarchiques déconcentrées (IEN, IA-DSDEN, Rectorats) et nationales (cabinets ministériels, DGESCO, DEPP, IGEN-IGAEN, etc.) de l’Education nationale et de l’enseignement supérieur, des territoires de cohésion éducatifs territoriaux (bassins de formation et secteurs des Centres d’information et d’orientation) et de « leurs » établissements (lycées, collèges), des organismes nationaux d’évaluation (CNESCO), de documentation enseignante (CANOPE) et de formation des enseignants (PNF de la DGESCO, CD-IUFM, puis ESPE, aujourd’hui INSPE), de la Représentation nationale (Sénat, plusieurs fois), des services de l’Etat (CGET, ex-DATAR, plusieurs fois), des différentes collectivités territoriales (mairies, intercommunalités, conseils généraux – aujourd’hui conseils départementaux – et régionaux), des associations de parents d’élèves (FCPE), d’élus (AMF, AMRF, ANEM), des associations de promotion de l’école rurale et montagnarde (FNER, MRJC, Montagne rebelle ariégeoise) et du développement territorial local (FFEM, Val d’Aoste, OPTIMA, GRETA), des associations professionnelles éducatives (ACOPF, ANCP, etc.) et péri-éducatives (Francas, Ligue de l’enseignement, etc.), des réseaux d’écoles et de collèges aussi bien affinitaires qu’institutionnels (réseau Plum’ Petits, réseau d’écoles rurales Vienne-Gartempe, réseau institutionnel des petits collèges granitiques auvergnats proches de la Chaise-Dieu, réseau buissonnier du Vercors, etc. etc.), des syndicats d’enseignants (FSU, SNES, SNU-IPP, syndicat enseignant catalan) et agricoles (FNSEA), des associations de développement territorial durable (OQSM, Mission agrobiosciences toulousaine, Controverses européennes de Marciac, Géoparc de Digne-les-bains, Montagne rebelle de la haute Ariège, etc.), des INSPE ex-ESPE ex-IUFM (Aix-Marseille, Besançon, Caen, Clermont-Ferrand, Corse, Grenoble, Lyon, Montpellier, Nice) et, plus largement, des universités françaises (Aix-Marseille, Besançon, Caen, Clermont-Ferrand, Corse, Grenoble-Alpes, Limoges, Lyon1, Lyon2, Montpellier, Nice, Saint-Etienne, Toulouse – ENFA, Supagro-Florac – Rouen, etc.) et étrangères (universités de Alba Iulia, Barcelona, Granada, Huelva, Lisboa, Lleida, Liège, Milano, Pècs, Salerno, Saragoza, Torino et université fédérale de Tocantins, Brésil), des grandes écoles (Sciences Politiques Paris, ENS Lyon), ainsi que des écoles professionnelles supérieures étrangères (HEP Bejune en Suisse, Centre de formation des maîtres du Val d’Aoste) et des fondations universitaires (Fondation Gargallo en Aragon), notamment.

Ils ont même pris part à des émissions télévisuelles – Les Maternelles en l’occurrence – et radio – Kadékol ENS Lyon – sur la thématique de l’illustration, de la défense et du développement durable – au sens premier du terme aussi! – de l’école rurale et montagnarde française (Yves Alpe et Pierre Champollion, successivement, pour Les Maternelles et Pierre Champollion pour Kadékol).

Références bibliographiques récentes publiées par les membres de l’OET (toutes classées par ordre alphabétique des auteurs (trices) / Pour obtenir plus de détails, voir leurs CV respectifs en cliquant sur leurs noms dans la rubrique « Equipe de recherche »)

1/ Angela Barthes

  • Barthes, A. Champollion, P. et Alpe, Y. (dir.). (2017). Permanences et évolutions de la relation complexes entre éducations et territoires, Série Education, ISTE Edition Ltd, Londres, 346 p.
  • Alpe, Y. Barthes, A. Champollion P. (2016). Ecoles rurales et réussite scolaire, collection Éclairer, Edition Canopé, Chasseneuil, 119 p.
  • Barthes, A. et Champollion, P. (dir.) (2014). L’école rurale en contexte méditerranéen : Approches socio-spatiales. Volume 6. Besançon. Presses universitaires de Franche-Comté. 220 p.
  • Barthes A. (2018). The inadequacy of french rural school public policies, in Barthes Champollion et Alpe (eds.). Evolutions of the Complex Relationship between Education and Territories, Wiley. Hoboken. New Jersey. P.289-307
  • Barthes A. et Alpe Y. (2018) The rural school in France: Current research contexts and positions in Barthes, Champollion et Alpe (eds.). Evolutions of the Complex Relationship between Education and Territories, Wiley. Hoboken. New Jersey. p.207-230
  • Alpe Y. et Barthes A. (2017). L’inadaptation des politiques publiques pour l’école rurale française, In Barthes, Champollion et Alpe . Permanences et évolutions de la relation complexes entre éducations et territoires, Série Education, ISTE Edition Ltd, Londres, p.  307- 324.
  • Barthes A. et Alpe Y. (2017). L’école rurale, un objet polysémique à fort enjeux sociétaux ? Contextes et positionnements actuels de la recherche, In Barthes, Champollion et Alpe . Permanences et évolutions de la relation complexes entre éducations et territoires, Série Education, ISTE Edition Ltd, Londres, p. 227-241
  • Barthes A. (2016). L’école rurale en France d’hier à aujourd’hui. In Alpe, Barthes, Champollion. Ecole rurale et réussite scolaire. Collection Éclairer. Edition. Canopée. pp.14-40
  • Barthes A. (2016). La structure de l’offre scolaire rurale in Alpe, Barthes, Champollion, Ecole rurale et réussite scolaire. Collection Éclairer.  Ed Canopée. pp. 41-58
  • Barthes A. (2015). L’éducation au patrimoine dans les aires territoriales protégées, une dimension de l’éducation au développement durable ? ». In Diemer, A., Education au développement durable. Enjeux et controverses.  De Boeck. pp. 323-340
  • Barthes, A. (2014). Apports de la cartographie aux recherches sur l’école rurale, in Barthes et Champollion, L’école rurale et montagnarde en contexte méditerranéen : Approches socio-spatiales. Volume 6.  Besançon. Presses universitaires de Franche-Comté. pp.36-48
  • Barthes, A. (2014). L’isolement et l’accessibilité des établissements scolaires en zone rurale et de montagne, in Barthes et Champollion, L’école rurale et montagnarde en contexte méditerranéen : Approches socio-spatiales. Volume 6.  Besançon. Presse

2/ Sylviane Blanc-Maximin

  • Blanc-Maximin, S. (2021). Une évaluation des progrès des élèves intégrée dans le processus d’enseignement-apprentissage en milieux ruraux montagnards.  In R. Boix, P. Champollion, A . Duarte (2021). Enseignement et apprentissage en tension dans les territoires ruraux, montagnards et urbains d’Europe du sud. Paris : L’Harmattan.

  • Blanc-Maximin, S. (2016). Responsabiliser les élèves au patrimoine modeste en développant uniquement un attachement au territoire ? Revue francophone du Développement Durable, Hors Série 3, p. 54-68.
  • Blanc-Maximin, S. (2016). L’éducation au patrimoine à l’école primaire : une éducation citoyenne ? Recherches en Education, n°25, p. 120-134.
  • Blanc-Maximin, S., Barthes, A. (2016). L’éducation au patrimoine à l’école primaire : une forme scolaire contemporaine ? Printemps de la recherche en ESPE. Paris : Réseau national des ESPE, 21-22 mars.
  • Blanc-Maximin, S., Barthes, A. (2017). L’art contemporain dans un territoire rural : quelle contribution à l’éducation relative à l’environnement ? Éducation relative à l’environnement, 14, n°1 [Revue virtuelle URL : https://journals.openedition.org/ere/2686%5D.
  • Blanc-Maximin, S., Floro, M. (2017). L’éducation au territoire à l’école élémentaire : le cas des projets PNR Queyras-Education nationale. In A. Barthes, P. Champollion, Y. Alpe (coord.), Permanences et évolutions des relations complexes entre éducations et territoires. London : Iste, p. 175-189.
  • Blanc-Maximin, S., Audran J., Fernandez, G. (2017). L’incivilité à l’école primaire : zone d’incertitude pour les enseignants ? Regards et stratégies pédagogiques d’enseignants en matière d’enseignement moral et civique. Revue de Recherches en Éducation, n°60, p. 23-36. [Résumé en ligne URL : https://spirale-edu-revue.fr/spip.php?article1315%5D.
  • Barthes, A., Blanc-Maximin, S. (2017). Quelles évolutions de l’école française face à l’éducation au patrimoine ? Revue des sciences l’éducation, 43, n°1, p. 85-115. [en ligne URL :  https://www.erudit.org/fr/revues/rse/2017-v43-n1-rse03267/1042075ar.pdf%5D.
  • Barthes, A., Blanc-Maximin, S., Dorier, E. (2019). Quelles balises curriculaires en éducation à la prospective territoriale durable ? Valeurs d’émancipation et finalités d’implications politiques des jeunes dans les études de cas en géographie ? Education et Socialisation. Les cahiers du CERFEE, n° [En ligne URL :https://journals.openedition.org/edso/5755 #quotation].
  • Barthes, A., Blanc-Maximin S., Alpe, Y., Floro, M. (2015). L’éducation au patrimoine : pourvoyeuse de savoirs et/ou au service des territoires ? Colloque international « Les éducations à, un levier de transformation du système éducatif », Rouen, 17-19 novembre. [URL :https://hal-amu.archives-ouvertes.fr/hal-01441066/document%5D.
  • Fernandez, G., Blanc-Maximin, S., Audran, J. (2018). Vers une évolution de la forme scolaire à l’âge du numérique. Le regard des enseignants français. Education et Formation, n° e-309, 17-32. [Revue virtuelle URL :http://revueeducationformation.be/index.php?revue=29& page=3].

3/ Pierre Champollion

  • Ouvrages

Boix, R., Champollion, P. & Duarte, A. (dir.) (2021). Enseignement et apprentissage en tension dans des territoires ruraux, montagnards et urbains d’Europe du sud. Collection « Crise et anthropologie de la relation ». Paris : L’Harmattan.

Champollion, P. (dir.) (2020). Territorialization of education. Trend or necessity. Londres : ISTE-Wiley.

Champollion, P. (dir.) (2020). Territorialisation de l’éducation. Tendance ou nécessité. Londres : IST

Barthes, A., Champollion, P. & Alpe, Y. (dir.) (2018). Evolutions of the Complex Relationship Between Education and Territories. Londres  : ISTE-Wiley, 348 p.

Barthes, A., Champollion, P. & Alpe, Y. (dir.) (2017). Permanences et évolutions des relations complexes entre éducations et territoires. Londres : ISTE. 349 p.

Champollion, P., Alpe, Y. & Barthes, A. (2016). Etre élève en milieu rural. Chasseneuil-du-Poitou : Canope, 118 p.

Champollion, P. & Barthes, A. (dir.) (2014). L’école rurale et montagnarde en contexte nord méditerranéen. Approches socio-spatiales. Besançon : Presses Universitaires Franc-Comtoises,268 p.

Champollion, P. (2013). Des inégalités d’éducation et d’orientation d’origine territoriale. Collection Crise et anthropologie de la relation. Paris :L’Harmattan, 210 p.

  • Chapitres d’ouvrage

Champollion, P. (2020). Derrière les territoires, les territorialités : quand les représentations affectent l’éducation. In Hélène Buisson-Fenet et Olivier Rey (dir.) Éducation et territoire : inégalités ou diversité ? Lyon : ENS Éditions.

Champollion, P. & Bellarbre, E. (2020).  Evolutions récentes des représentations territoriales et scolaires des élèves de collège ruraux-montagnards susceptibles d’intervenir dans la construction des inégalités d’orientation d’origine territoriale.In Régis Malet & Liu Baocun (dir.)Politiques éducatives et justice sociale. Perspectives internationales comparées. Bibliothèque d’Etudes Comparatives. Bern : Editions Peter Lang. Accepté.

Champollion, P. (2020). Représentations territoriales et scolaires rurales : atténuation de leurs spécificités et maintien de poches de résistance. In Champollion Pierre (dir.) Territorialisation de l’éducation. Tendance ou nécessité. Londres : ISTE.

Champollion, P. (2020). Rapprochement des représentations rurales et urbaines en raison de la pénétration d’internet et des réseaux sociaux ? In Champollion Pierre (dir.)Territorialisation de l’éducation. Tendance ou nécessité. Londres : ISTE.

Champollion, P. (2019). Etat de la question « éducation et territoire » : analyse à partir de territoires ruraux et montagnards. In Danic, I., David, O. & al. Les inégalités éducatives selon les espaces de vie. Rennes : Presses Universitaires de Rennes. A paraître fin 2018 ou début 2019.

Champollion, P. (2017). « Rapports entre orientation et territorialité : éléments de théorisation à partir du cas de l’école rurale montagnarde ». In Barthes, A., Champollion, P. & Alpe, Y., Permanences et évolutions des relations complexes entre éducations et territoires. Londres : ISTE.

Champollion, P. (2017). « Vers des convergences entre rural et urbain… ? Analyses comparatives des contextes éducatifs et des représentations sociales en CM2 ». In Barthes, A., Champollion, P. & Alpe, Y., Permanences et évolutions des relations complexes entre éducations et territoires. Londres : ISTE

Champollion, P. (2014). « Les difficultés d’orientation dans l’école rurale et montagnarde française ». In Champollion, P. & Barthes, A. (dir.) (2014). L’école rurale et montagnarde en contexte nord méditerranéen. Approches socio-spatiales. Besançon : Presses Universitaires de Franche-Comté, pp. 157-160.

Champollion, P., Berrios, A. & Barthes, A. (2014). « Les apports disciplinaires sont- ils suffisamment développés pour répondre aux objectifs éducatifs des collèges face à l’introduction de l’éducation au développement durable et à ses pratiques sociales dominantes ». In Diemer, A. & Marquat, C., Education au développement durable. Enjeux et controverses. Chapitre n° 12. De boeck.

Champollion, P. & Piponnier, A. (2013). « Inscription ou effacement ? Rôles et enjeux de l’imagier territorial institutionnel dans la représentation des territoires au sein de l’éducation nationale française ». In Noyer, J., Pailliart, I. & Raoul, B. Médias et territoires. Lille : Presses Universitaires du Septentrion, pp. 235-256.

Champollion, P. (2010). « La notion de territoire utilisée par l’Observatoire de l’école rurale ». In Alpe, Y, Champollion, P. & Poirey, J.-L. (coord.). L’Enseignement scolaire en milieu rural et montagnard, Tome 5, Après le collège. Besançon : Presses Universitaires Franc-Comtoises, pp. 59-65.

Champollion, P. & Legardez, A. (2010). « Mieux prendre en compte les contextes territoriaux de l’école pour mieux adapter la formation des enseignants aux évolutions de la société et des élèves ». In Baillat, G., Niclot, D. & Ulma, D. La formation des enseignants en Europe. Approche comparative. Chapitre n° 6. De Boeck, pp. 267-287.

  • Articles et communications scientifiques

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Champollion, P. (2019). Inégalités d’orientation et territorialité. L’exemple de l’école rurale montagnarde. Contribution au rapport CNESCO Justice à l’école et territoires.

Champollion, P. & Rothenburger, C. (2018). De la didactique du territoire au territoire apprenant. In Diversité, n° 191, L’expérience du territoire. Apprendre dans une société durable. Canopé, 54-63.

Champollion, P. (2017). Vers des convergences au niveau dans les comportements scolaires et les représentations sociales entre élèves ruraux et urbains ? Sisyphus – Journal of Education. Université de Lisbonne.

Champollion, P. (2015). Education and territory: conceptual framework.In Boix, R., Champollion, P. & Duarte, A. (coord.)“Territorial Specificities of Teaching and Learning”. Sisyphus – Journal of Education.

Champollion, P., Boix, R. & Duarte, A. (2015). Teaching and learning in rural contexts. In “Territorial Specificities of Teaching and Learning”. Sisyphus – Journal of Education.

Champollion, P. & Richit, N. (2014). L’orientation, une « éducation à » ?Actes du Colloque « les éducations à : un (des) levier(s) du système éducatif ? ». Université de Rouen, 17-19 novembre 2014.

Champollion, P. (dir.) (2013). Symposium « La problématique « éducation, territoire et territorialité » dans tous ses états. Actes du Congrès international AREF, 27-30 août 2013, université de Montpellier3.

Champollion, P. & Rothenburger, C. (2013). Enseigner en école rurale : quels impacts sur la construction de l’identité professionnelle des enseignants ? Etude comparative dans des territoires ruraux de quatre pays. Actes du Congrès international AREF, 27-30 août 2013, université de Montpellier3.

Champollion, P. (coord.) et al. (2013). Education au développement durable et territoires. Penser l’éducation, n° hors-série, J-M Lange (dir.). Actes du colloque international « l’éducation au développement durable : appuis et obstacles à sa généralisation hors et dans l’école, 26-28 novembre 2012, université de Rouen.

Champollion, P. & Barthes, A. (2012). Éducation au développement durable et territoires : évolution des problématiques, modification des logiques éducatives et spécificité des contextes ? Education relative à l’environnement : Regards, recherches, réflexions, n° 10, Habiter : l’ancrage territorial comme support pour l’éducation à l’environnement.

Champollion, P. & Barthes, A. (2012).  De l’usage et du mésusage du classement par rang en matière de vulgarisation de l’évaluation internationale PISA. Questions vives. Recherches en éducation « A propos de PISA : pour quoi, pour qui évaluer et comparer les compétences des élèves ?», n° 16.

Champollion, P., Boix, R. & Domingo, L. (2012). « Estado de la cuestión del Proyecto de Investigación Educativa “La eficacia y la calidad en la adquisición de competencias caracterizan a la escuela rural: ¿es un modelo transferible a otra tipología de escuela? ». Revista Educação do UFSM. Santa Maria, Brasil.

Champollion, P. (2012). Education et territoire. Impact des territoires ruraux et montagnards sur les trajectoires scolaires et sur les choix d’orientation. Questions d’orientation, n° 4.

Champollion, P. (2011). Impacto del contexto territorial en la educación: primera aproximacion teorica y empirica. El caso de la zona de montaña francesa. Revista PROFESORADO. Universidad de Granada.

Champollion, P. (2011). La problématique « éducation et territoire » en milieu rural et montagnard : permanences et renouvellements. Conférence inaugurale, in Actes des Journées de recherches et d’innovations pédagogiques « Maria Rubies », Université de Lleida (Espagne).

Champollion, P., Delvoye, J.-M. & Piponnier, A. (2011). Observatoires numériques et pratiques citoyennes : vers un dispositif d’intelligence territoriale au service du développement durable ? TERMINAL, Technologie de l’information, culture et société, Le développement durable à l’épreuve des TIC,n° 106-107.

Champollion, P. (2010). Repérer et caractériser l’influence des territoires ruraux et montagnards sur l’école : des impacts ponctuels aux effets globaux de territoire. TransFormations – Revue de Recherche en éducation des adultes, n° 3, L’orientation : une problématique renouvelée. Université de Lille1 – CEPP – CIREL-TRIGONE.

Champollion, P. (coord.) (2010). Symposium « Education au développement durable et territoires ». In Actes du Congrès international« Actualité de la Recherche en Education et Formation » (AREF). Genève.

Champollion, P. (coord.) (2010). Symposium « Approche comparative territoriale de l’orientation ». In Actes du congrès « Orientation et mondialisation » de l’Association francophone d’éducation comparée (AFEC). Dijon. 

5/ Catherine Rothenburger : à venir…

 

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